Veuillez indiquer quel produit vous allez présenter aux clients et aux visiteurs lors de cette édition du salon Iran Plast ?

La mission de Parsa Polymer est de pouvoir proposer aux clients et aux entreprises partenaires une option complète et exhaustive dans le domaine des matières premières. L'objectif est de répondre aux préoccupations des clients en matière de qualité et en fait de créer un équilibre entre qualité et prix. Nous avons un centre d'innovation dans notre groupe depuis plusieurs années et nous travaillons sur le développement de divers produits. Nous avons plusieurs nouveaux produits au salon. L'un d'eux est un matériau que le producteur peut utiliser pour changer de couleur lors de l'injection et du compound, qui nettoie rapidement le cylindre et augmente considérablement la vitesse de déplacement et de changement de produit dans le processus de production. C'est l'un de nos produits spéciaux et bien sûr, nous avons également proposé d'autres produits..

Quelle est votre capacité de production annuelle, votre part de marché dans le pays et votre part d'exportation de vos productions ?

La société Parsa Polymer Sharif a considérablement augmenté sa capacité ces dernières années et a atteint une capacité réelle supérieure à 25000 tonnes. Nous avons une bonne part de marché dans les produits technologiques et comme je l'ai mentionné, nous avons essayé de répondre aux préoccupations des clients.

Quels sont les trois grands défis de la production dans l'industrie des polymères ?

L'industrie des polymères fait face à de nombreux défis, mais le premier défi est la situation d'approvisionnement en matières, qui est très chaotique. Par exemple, dans le domaine du polyéthylène, vous voyez que le prix proposé à la bourse est bon et parfois inférieur au prix mondial, mais pour certains produits comme le polypropylène, les matières premières sont plus chères sur le marché mondial, alors qu'elles sont considérées comme le matériau le plus important dans le domaine du compound. Ce déséquilibre dans l'approvisionnement en matières premières est le principal problème. Le deuxième problème concerne les exportations, où les lois et règlements changent rapidement et il y a toujours cette anxiété et cette préoccupation concernant les exportations. Le troisième problème est la stabilité économique du pays et les fluctuations soudaines de la monnaie, ce qui rend la planification pour l'avenir difficile. D'une part, ils essaient de manière directive d'injecter de la monnaie, ce qui est très inflationniste.

La prévisibilité de la situation économique est un sujet très important. Nous ne nous attendons pas et ne devrions pas non plus nous attendre à ce que le prix de la monnaie soit fixe, mais il devrait avoir une relation avec l'inflation.

Un autre point est cette interaction limitée avec le monde qui impose des coûts élevés sur les exportations. Dans les accords internationaux et en ce qui concerne les tarifs préférentiels, nous n'avons pratiquement pas de place et par rapport à nos concurrents, nous sommes toujours en retard d'au moins 5 pour cent en termes de tarifs. Nos coûts logistiques sont très élevés et souvent le prix du produit, sans tenir compte de la logistique, est très compétitif, mais lorsque ce coût est ajouté, nous perdons le marché.

Quel impact ont les salons spécialisés sur le développement de votre marché ? Quelles sont vos critiques potentielles sur Iran Plast et vos suggestions pour les futures éditions ?

Les salons spécialisés ne sont qu'une très bonne opportunité pour que les fournisseurs et les clients se rencontrent de près. C'est un espace et une occasion pour une interaction plus sérieuse. Mais je crois qu'il n'est pas nécessaire que le salon Iran Plast se tienne chaque année. Je suggérerais qu'il ait lieu tous les deux ou trois ans. Malheureusement, il s'est développé d'une manière où des intérêts sont créés dans l'organisation de ce salon, ce qui pousse certains à vouloir le tenir chaque année. Cela impose des coûts élevés aux entreprises, alors qu'à l'échelle mondiale, nous voyons que la plupart des salons se tiennent tous les deux ou trois ans. Quoi qu'il en soit, en ce qui concerne notre activité économique, nous devons être optimistes. Si nous ne le sommes pas, nous devrions fermer.

Comment évaluez-vous les perspectives d'activité économique du nouveau gouvernement et ses effets sur votre entreprise ?

J'espère que le gouvernement actuel, qui au moins, comme la rationalité dans leurs discours est plus forte que celle du gouvernement précédent, réussira. Une partie dépend de la performance et des interactions de ceux-ci et de leur capacité à travailler et finalement à établir un lien plus étroit avec la société. Cela réduira le fossé entre le gouvernement et le peuple. J'espère qu'ils pourront également réduire les tensions sur la scène internationale, même si l'autre partie est très déterminante et a plus de poids que nous.

Nécessité d'organiser Iran Plast

Programme d'augmentation de capital de 524 % de la société pharmaceutique provenant de trois sources.

Célébration des meilleurs producteurs d'huile d'olive

Connaissance de la gestion de l'eau et des méthodes les plus efficaces.

Salon de l'industrie électrique 2023