La brique, en tant que l'un des matériaux de construction les plus anciens, malgré tous ses avantages et son large éventail d'applications dans la construction, présente également des inconvénients qui doivent être pris en compte. Le comportement isotrope, l'hétérogénéité, la non-linéarité et la nature en forme de plaque des éléments de structure en brique ont créé une complexité particulière du point de vue de l'ingénierie pour ce type de matériaux.

La façade en brique laisse passer le son et la chaleur dans une large mesure, ce qui en fait l'un des matériaux traditionnels les plus énergivores. De plus, du fait que la formulation principale est composée de limon, sa durabilité et sa longévité ne sont pas garanties et, avec le temps et sous l'influence des conditions climatiques, sa résistance diminue et il devient vétuste. Les briques en limon ont une très forte capacité d'absorption d'eau, ce qui en fait l'une des plus grandes faiblesses de la brique du point de vue de l'esthétique et de l'apparence. Pour cette raison, l'utilisation de façades en brique de limon dans des conditions climatiques humides n'est pas du tout recommandée.

Conclusion

Les raisons du comportement inadéquat des structures en brique face aux séismes peuvent être attribuées à des facteurs tels que la fragilité des matériaux, la réduction de la résistance due à la répétition de charges intenses, le poids élevé, la grande rigidité et, par conséquent, la réponse intense aux ondes sismiques avec une période naturelle courte et une forte dépendance de la résistance du bâtiment à la qualité.

D'un point de vue de l'ingénierie sismique, il a été déterminé que le principal point faible des murs en brique est principalement la jonction entre la brique et le mortier, en particulier parce que ladite jonction forme des surfaces horizontales et crée ainsi un terrain propice aux dommages lors d'un séisme. Comme mentionné, l'une des principales faiblesses est la nature en forme de plaque des éléments de structure en brique, qui peut être en partie corrigée par une action sur ce point. Pour améliorer la situation, il est nécessaire d'apporter des modifications à la disposition de manière à ce que la jonction entre la brique et le mortier ne forme pas une seule surface continue et que les briques coupent alternativement cette surface fictive. Par conséquent, la capacité de cisaillement du mur est augmentée.

Il semble que toutes les briques soient engagées les unes avec les autres de la plus basse à la plus haute surface, et qu'aucune brique ne puisse se déplacer de manière indépendante, agissant de manière plus coordonnée et intégrée par rapport aux murs en brique avec une disposition normale.

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